Moulay Omar Zahraoui, président et directeur général de la société nationale « Habanos » spécialisée dans la culture et la production de cigares marocains de type luxe, a salué le certificat d’appréciation obtenu par le président du barreau, M. Ibrahim Sadouk, qui a exprimé sa grande admiration pour la société nationale « Habanos » pour sa capacité à défier les entreprises internationales, dans une ère où nombre de pays ont l’habitude de traiter avec ces entreprises monopolistiques parce qu’elles sont sans concurrents.
Le bâtonnier a exprimé sa grande fierté de l’existence d’une entreprise nationale qui a pu confronter les entreprises étrangères qui monopolisent ce secteur avec un produit 100% marocain extrait de sols fertiles, qui est le premier produit national local à remporter le pari en le balayant sur le marché international, faisant de la « Habanos » nationale la première entreprise marocaine à cultiver du tabac et à produire du Cigare, lesquels sont réduit ses exportations à l’étranger pour apporter des devises fortes au Royaume, une initiative que le Maroc n’avait jamais entrepris auparavant, après que ce dernier avait épuisé des millions de dirhams hier pour importer des produits des cigares d’Europe et d’Amérique latine.
Peut-être l’esprit patriotique du bâtonnier Ibrahim Sadouq l’a-t-il poussé à rédiger un témoignage d’appréciation pour sa fierté de l’existence d’une société nationale comme « Habanos », dirigée par un jeune marocain ambitieux et jaloux de l’économie du Royaume. Habanos «est une véritable aubaine pour l’économie du Royaume, à l’instar d’un certain nombre d’entreprises nationales productives qui encouragent la production locale.
Le bâtonnier M. Ibrahim Sadouq n’a pas non plus échappé à une attaque féroce, à laquelle il a été exposé lorsqu’il a spontanément exprimé sa fierté envers une société nationale qui produit et exporte à l’étranger, et il veut dire que la société nationale « Habanos » qui produit des cigares de luxe, moins est son homologue selon son expression, et il ne parlait pas de produits étrangers comme mentionné par l’un des médias précédemment.